Team Adventure, le Normand d'Amérique
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La dernière demi-coque du catamaran de Cam Lewis (USA) est entrée en fabrication à Cherbourg (Normandie). Team Adventure, qui sera mis à l'eau en septembre 2000, se distinguera de Club Med et de "Code Un" par ses tableaux arrières plus verticaux et ses barres à roue plus avancées.
La construction du catamaran de Cam Lewis (USA), provisoirement baptisé Team Adventure, progresse dans les temps pour une mise à l'eau en septembre 2000.
Le chantier JMV de Cherbourg (Normandie, France) est sur le point de commencer la dernière demi-coque de ce 3e catamaran de 33 m dessiné par le Gilles Ollier Design Team pour The Race. Simultanément, il va entamer l'assemblage de la 1e coque complète. Les bras de liaison arrière et milieu sont également en cours de fabrication.

Club Med lancé
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Après plus de 5 années de réflexion, de conception et quelques 60 000 heures de travail effectuées en un an, Club Med rejoint l'élément liquide le lundi 8 mai 2000. Co-skippé par le Néo-zélandais Grant Dalton, il est le premier des 3 maxi catamarans spécialement construits par Multiplast pour The Race.
Un grand moment d'émotion pour tous les hommes du chantier – ils sont une cinquantaine - et du Gilles Ollier Design Team, qui ont travaillé sans relâche pour donner naissance à cette unité d'exception.
Gilles Ollier : « ...Depuis la conférence de presse organisée par Bruno Peyron au Musée de la Marine de Paris en 1993, après avoir remporté le premier Trophée Jules Verne la même année sur Commodore Explorer dessiné et construit au chantier, il y lançait l'idée de THE RACE : une course sans limite autour du monde pour l'an 2000.

Club Med navigue
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Baptisé et mis à l'eau le 8 mai dernier, le maxi catamaran Club Med co-skippé par le Néo-zélandais Grant Dalton, a reçu son mât en début de semaine et a effectué ses premières navigations.

Si la sortie de chantier d'un bateau est toujours emprunte d'une énorme émotion – c'est la concrétisation de milliers d'heures de travail - il reste toujours beaucoup à faire avant de naviguer. En effet, le mâtage tout d'abord, requière énormément de précision. Tous les haubans qui retiennent le mât doivent trouver leur place de façon très ajustée. Plus encore lorsque s'agit d'un espar tournant, la rotule de pied de mât devant autoriser des débattements sans contraintes.